Est-ce vraiment l’emploi que le gouvernement entend sauver à Belfort ?
rubin.substack.com
Avec la commande de 21 TGV, 20 locomotives et 30 trains intercités pour 450 millions d’euros, l’État a lancé à Belfort l’un des plans de sauvetage de l’emploi les plus chers de l’histoire française. L’enjeu ? Officiellement, le sauvetage en urgence du site local d’Alstom, dont le groupe a annoncé la fermeture à l’horizon 2018. 450 millions, il fallait bien ça, nous explique-t-on, pour sauver un important bassin d’emploi en péril et prendre enfin le taureau par les cornes dans l’indispensable lutte contre le déclin de l’industrie.
Est-ce vraiment l’emploi que le gouvernement entend sauver à Belfort ?
Est-ce vraiment l’emploi que le gouvernement…
Est-ce vraiment l’emploi que le gouvernement entend sauver à Belfort ?
Avec la commande de 21 TGV, 20 locomotives et 30 trains intercités pour 450 millions d’euros, l’État a lancé à Belfort l’un des plans de sauvetage de l’emploi les plus chers de l’histoire française. L’enjeu ? Officiellement, le sauvetage en urgence du site local d’Alstom, dont le groupe a annoncé la fermeture à l’horizon 2018. 450 millions, il fallait bien ça, nous explique-t-on, pour sauver un important bassin d’emploi en péril et prendre enfin le taureau par les cornes dans l’indispensable lutte contre le déclin de l’industrie.